dimanche 26 décembre 2010

1h30 de retard

Paris Sud Ouest
1h30 de retard
l'année se termine bien !

dimanche 12 décembre 2010

La SNCF condamnée pour un retard de train

Tiens donc !!
«Le Parisien» - «Aujourd'hui en France» révèle ce vendredi que la cour d’appel de Paris vient de contraindre la SNCF à indemniser un passager en raison du retard d’un train. Une première. Les contentieux pourraient se multiplier.
Voir l'article du ParisienCela devrait faire jurisprudence, et dans certains cas cela se justifie. les contraintes professionnelles ou familiales d'utiliser le train ne doivent pas autoriser la SNCF de profiter de cette clientèle captive pour dégrader son service sans conséquences.

Précision SNCF et yield management

La lecture des tarifs SNCF laisse quelquefois des occasions de sourire ( quand on n'est pas bloqué sur le quai d'une gare à attendre un train par grand froid).
Ainsi ces trajets entre le Sud Ouest et Paris ou sur les mêmes trains associés, le prix de la même prestation ( voyage en seconde classe) change si on se trouve dans le premier train ou le second, et au sein de la même rame.

Acheter un billet Prem's reviens à économiser 19% sur le prix du billet abonné fréquence. La même prestation a donc des coûts différents de près de 20% suivant que l'on accepte ou pas de perdre la possibilité d'échange. Accessoirement on comprend aussi que l'on peut acheter un 1billet moins cher quand on est pas abonné ... A superbe programme de fidélisation !
Il faut donc passer plus de temps à décrypter les tarifs SNCF, si on ne veut pas s'apercevoir une fois assis, que son voisin a payé le même billet 20% moins cher.
Quand aux horaires, il est amusant de constater que le train placé derrière ( il y 2 rames associées), met 1 minute de trajet en moins que le train placé devant. Et il le double ou ? à Saint Pierre des Corps, avec un conducteur fantôme ? ;-)

1heure de retard

Paris Sud Ouest
1 heure de retard
Décembre 2010

mercredi 1 décembre 2010

Galère : juste pour prendre des billets

Après avoir planté brutalement, empêchant le consommateur de prendre un second billet prime, le site est en maintenance :
"Pour des raisons de maintenance, vous ne pouvez pas accéder à votre espace personnel entre 20h et 6h , mais n'hésitez pas à parcourir le site pour tout savoir sur le Programme Grand Voyageur ou découvrir nos actualités.Merci de votre compréhension."
En gros il faut 3 jours pour prendre des billets primes, à la SNCF avec le service TGV : Très Grand Voleur

dimanche 28 novembre 2010

Un billet prime et Pschiiiit !

Voila un service pour grand Voyageur. Un billet prime et après boum, le site plante.
" Site indisponible

Votre site est temporairement indisponible. Nous vous invitons à vous reconnecter ultérieurement.

Nous vous prions de nous excuser pour la gêne occasionnée."

dimanche 21 novembre 2010

45 minutes de retard

Paris -Sud Ouest
45 minutes de retard
octobre 2010

dimanche 14 novembre 2010

Qu'est ce qu'un client fidèle à la SNCF ?

Mais rien ..la preuve
Le compte point Smile Grand Voyageur n'est pas disponible sur le site sncf.com












On peut donc consulter son solde de points sur le site de fidélité dédié, comme indiqué :
Ben non, trop facile... la page n'existe pas !





Allons voir sur le site Grand Voyageur directement
Ah bon, ben oui, cela m'aurait étonné !
Un message d'erreur !!

jeudi 28 octobre 2010

15 minutes de retard

Paris - Sud Ouest
15 minutes de retard
Octobre 2010

jeudi 9 septembre 2010

Sud Ouest- Paris
10 minutes de retard
Septembre 2010

lundi 9 août 2010

Aller/ Retour, ou aller sans retour ?

Pour le week end du 15 aout, il n'y a pas que les péages des autoroutes qui sont embouteillés. En effet sur le serveur de la SNCF, impossible de prendre un AR. Après une dizaine de tentatives, ou l'A/R était toujours impossible,  il a fallut se résoudre à prendre 2 allers. Et cela marche. Donc 2 allers (en fait un aller + un retour), ce n'est pas comme un A/R ???

samedi 7 août 2010

"Nous n'avons pas pu réserver vos places, car les dernières places qui étaient disponibles lorsque vous aviez choisi le train, ont été depuis réservées par une autre personne. Veuillez ressaisir vos choix pour un autre voyage."
Voila la sempiternelle phrase que ce serveur est capable de vous affichez. Il vous fait croire 1,2,10 fois de suite que cette situation est possible. Mais il vous repropose  le même train la 11 ème fois. Alors ce train, il est complet oui ou non ?
Après avoir tester plusieurs train entre le sud ouest et Paris, le dimanche, ils sont soit complets, soit volontairement non accessibles par internet. Ce qui est possible. Dans ce cas pourquoi les afficher, surtout quand on s'est identifié?

jeudi 5 août 2010

On peut perdre son job à cause des retards de la SNCF

A la rentrée, un avocat lyonnais va assigner la SNCF au nom de soixante usagers victimes de pertes de clientèle et de retenues sur salaire. Depuis février 2010, cet avocat, Me David Metaxas, a déjà déposé deux plaintes au nom de clientes estimant avoir subi un préjudice en raison de retards : l'une a perdu son emploi et l'autre des clients.
La dernière affaire en date a fait quelque bruit, la semaine dernière : Soazig Parassols, une secrétaire juridique de 24 ans, a assigné la SNCF, à qui elle réclame 45 000 euros de dommages et intérêts car elle a perdu son emploi. Depuis le 7 juin, cette habitante d'Ambérieu-en-Bugey, à une cinquantaine de kilomètres de Lyon, était à l'essai dans un cabinet d'avocats de la capitale des Gaules.
Voir l'article complet sur Rue 89.   Télécharger la lettre de renvoi.

Paris -Sud Ouest
10 minutes de retard
aout 2010

samedi 17 juillet 2010

10 minutes de retard

Paris -Sud Ouest
10 minutes de retard
Juillet 2010

samedi 19 juin 2010

25 minutes de retard

Paris -Sud Ouest
25 minutes de retard
Juin 2010

dimanche 6 juin 2010

Vers la fin des billets gratuits ?

Très bon article du journal Les Echos qui explique comment la SNCF a réduit les avantages de ses clients fidèles sans vergogne et sans egard pour leurs usagers (parler de client est exagéré).
A lire sur le journal économique l'article intitulé "Programmes de fidélité : vers la fin des billets gratuits ?"
( Les Echos commercialisant cet article le lien peut aboutir après quelques jours à une zone privée et payante.)
 La copie de l'article est  présente ci-dessous: Source les Echos

Programmes de fidélité : vers la fin des billets gratuits ?[ 04/06/10  ]

Jugées trop onéreuses par les directions financières, voire inefficaces par certains responsables marketing, les politiques de fidélisation mises en place dans les années 1980 sont moins généreuses que par le passé. Pour récompenser leurs clients de façon plus astucieuse, les entreprises privilégient désormais les avantages non monétisables.

Un véritable tollé. Depuis plusieurs semaines, la SNCF se fait copieusement injurier sur différents sites Internet -y compris sur l'un des siens (http://debats.sncf.com). A longueur d'e-mails, des clients lui reprochent d'avoir changé sa politique de fidélisation… sans vraiment y avoir mis les formes. Ces voyageurs très remontés pestent contre le durcissement des barèmes d'attribution et de dépense des S'Miles, ces points gagnés à l'achat du billet de train, que l'on peut convertir ensuite en voyages gratuits.
Les plus en colère ? Incontestablement, les clients professionnels, qui achètent leurs billets au prix fort car ils les veulent échangeables et remboursables jusqu'au dernier moment ; et puis il y a aussi les clients « Fréquence », auxquels l'achat d'une carte d'abonnement donne droit à une réduction de 50 % sur le tarif Pro. Ces deux catégories de voyageurs s'estiment aujourd'hui pénalisées à plusieurs titres. Ils ont d'abord subi ces dernières années des hausses de prix très largement supérieures à l'inflation, et plus importantes que celles appliquées aux tarifs loisirs. Sur certains trains de la ligne Paris-Libourne, par exemple, le prix du billet a bondi de plus de 20 % entre janvier 2007 et mai 2010, en abonnement Fréquence Seconde classe, et celui du coupon annuel d'abonnement, de 10 %. Mais, en plus, ces clients ont découvert en février à la lecture de leurs relevés de S'Miles, sans en avoir été préalablement informés, que le nombre de points susceptibles d'être cumulés sur leur carte de fidélité Grand Voyageur avait été brutalement revu à la baisse. « 1,25 point pour 1 euro d'achat, contre 2 auparavant » en Fréquence Seconde, se désolait ainsi Aurélien, le 9 février dernier, sur le site de la SNCF, ajoutant : « II y a à peine plus d'un an, c'était 4 S'Miles pour 1 euro d'achat en Fréquence Seconde. »
Moins de points, plus de promotions

Un malheur n'arrivant jamais seul, la clientèle a aussi découvert que, parallèlement, il faut acquérir toujours plus de S'Miles pour espérer obtenir un billet gratuit : 4.900 S'Miles par exemple pour un billet Mini-Prime aller-retour Première contre 3.700, il n'y a pas si longtemps. Ou alors, c'est une innovation de la nouvelle grille, 2.900 S'Miles seulement, mais à condition d'ajouter 15 euros de sa poche, c'est-à-dire d'accepter de payer pour un billet… offert ! A ce rythme, les quelque 2.500 places gratuites attribuées chaque jour par la SNCF -environ 1 % de son offre -devraient être sérieusement écornées dans un proche avenir.
Directeur commercial, marketing et systèmes d'information de SNCF Voyage, la branche en charge des trains grandes lignes, Pascal Delorme assume. « Compte tenu du panier moyen d'un passager ferroviaire, nettement plus faible que celui d'un voyageur aérien, nous étions allés trop loin dans la générosité », affirme-t-il, replaçant la problématique dans un cadre commercial plus large. Ainsi, « les abonnés Fréquence ont bénéficié de trois promotions l'an dernier ». Pascal Delorme évoque par ailleurs les efforts de la SNCF pour étendre le nombre de trains accessibles aux tarifs promotionnels Prem's, « une politique plus intéressante pour nos clients que de distribuer des points ».
De fait, l'entreprise ferroviaire n'est pas la seule à repenser sa politique de fidélisation. Crise oblige, les compagnies aériennes, elles aussi, ont durci les conditions d'attribution des miles permettant d'obtenir des billets gratuits. Mais d'une manière plus feutrée. Ainsi chez Air France-KLM, le nombre de points attribués demeure acquis à vie (par comparaison, ils ne sont valables que trois ans à la SNCF), même s'il faut pour cela voyager plus souvent que par le passé : au moins une fois tous les vingt mois désormais, contre un vol payant tous les trente-six mois il y a encore deux ans. Quant au nombre de billets gratuits émis (ils coûtent quand même au passager, car il doit s'acquitter des taxes d'aéroport et des surcharges carburant), il n'a pas été revu à la baisse : « Ils représentent 4 % des sièges, soit près de 7.000 places, de quoi remplir 13 Airbus A380 ou 40 A320 par jour », souligne Patrick Roux, le directeur marketing d'Air France-KLM, précisant que ce pourcentage « est un peu le standard de l'industrie aérienne ». Pour lui, « il est nécessaire de veiller à une grande stabilité dans le barème des miles », au risque, sinon, de s'aliéner la clientèle. Il est vrai qu'Air France-KLM peut se le permettre. Grâce à l'alliance SkyTeam, le groupe dispose d'un réseau très étendu de 108 partenaires aériens et non aériens, assurant l'autofinancement de son programme de fidélisation. Les dépenses générées par l'émission d'un billet gratuit au profit d'un passager d'Air France ou de KLM sont en effet compensées par les recettes provenant d'un partenaire, par exemple Delta Air Lines ou Kenya Airways, quand ce dernier achète à la compagnie française un billet destiné à l'un de ses voyageurs fidèles.
Des informations sur le client

Violent, façon SNCF, ou plus en douceur, comme chez Air-France-KLM, le virage pris laisse-t-il présager la disparition des avantages financiers consentis aux meilleurs clients ? Certains en rêvent. En particulier au sein des directions financières, car l'émission à venir de billets gratuits doit être comptabilisée selon des règles très précises, et pour des montants souvent significatifs. Mais aussi chez certains spécialistes du marketing, notant par exemple que les compagnies aériennes à bas coûts n'ont jamais développé de programmes de fidélisation, ce qui ne les empêche pas de tailler jour après jour des croupières aux compagnies traditionnelles grâce à leurs tarifs imbattables. Par ailleurs, les comportements d'achat induits par Internet ont changé la donne : « Quand un individu surfe sur un comparateur de prix avant d'acheter un billet, il vaut mieux pour l'entreprise être moins chère que la concurrence, plutôt que distribuer des points qui seront utilisés plus tard », estime Pascal Delorme à la SNCF.
Senior Partner chez Roland Berger Consultants, Delphine Mathez se demande pour sa part si les adhérents à un programme de fidélité achètent réellement plus que les autres. La réponse n'est pas évidente. Selon elle, la généralisation de tels programmes contribue à figer les parts de marché dans certains secteurs, tout en développant une mentalité de « chasseurs de primes » chez des clients dont une bonne partie était déjà acquise à la marque. Bref, de plus en plus d'acteurs sont convaincus qu'un programme de fidélité reposant sur la distribution d'avantages financiers pour le client coûte cher, et rapporte peu. Il n'est pas étonnant, dans ces conditions, que les directions générales décident de resserrer les boulons.
Pas question pour autant de jeter le bébé avec l'eau du bain. Car un programme de fidélisation bien géré donne accès à une ressource inestimable : les données personnelles du client, et ses habitudes de consommation. C'est d'ailleurs pour cette raison que les compagnies aériennes, au premier rang desquelles le pionnier American Airlines, s'étaient lancées dans l'aventure au début des années 1980. A l'époque, la majorité de leurs transactions passait par l'intermédiaire d'un agent de voyage. C'était donc lui qui détenait les données du passager, et non le transporteur. Or, une fois muni de ces précieux renseignements, ce dernier peut faire beaucoup de choses : créer de nouveaux services permettant de mieux traiter le client (par exemple, signaler par SMS et en temps réel au voyageur aérien que son vol sera en retard, ou que son bagage égaré a été retrouvé), et même inventer de nouveaux produits. « Dans le cadre de notre programme Flying Blue, nous disposons d'un panel de plus de 10.000 adhérents acceptant de répondre à des questionnaires en ligne, explique ainsi Patrick Roux, chez Air France-KLM. Cela nous a grandement aidés à concevoir notre nouvelle classe Premium Voyageur », un produit intermédiaire entre les classes Affaires et Economique, destiné à compenser l'effondrement du remplissage de la classe Affaires en long-courrier, consécutif à la crise économique.
Des avantages non monétisables

Mais comment accéder aux données des clients fidèles et les faire fructifier, tout en endiguant l'inflation des miles, S'Miles et autres remises en tout genre ? Pour résoudre cette équation, les entreprises mettent de plus en plus l'accent sur des avantages non monétisables, comme, dans l'aérien, l'accès à un salon d'attente réservé ou à un guichet prioritaire pour passer les formalités de police en aéroport. Dans un tout autre domaine, le distributeur de jeux vidéo Micromania explore de nouvelles pistes, en invitant par exemple, chaque automne, ses meilleurs clients à découvrir en avant-première les jeux qui seront mis en vente à Noël. Chaque partie y trouve son compte : le client invité est flatté de ce traitement VIP. Au vu de ses réactions, l'éditeur du jeu peut apporter d'ultimes retouches à son produit avant le lancement. Quant à l'enseigne elle-même, elle tire de cette confrontation entre le joueur et l'éditeur de précieux enseignements lui permettant d'anticiper le succès de tel ou tel jeu, et d'optimiser ainsi ses prises de commande.
Pour autant, Micromania n'a pas renoncé à l'aspect purement monétaire de son programme de fidélité. « Quand nous avons repensé notre système, nous n'avons pas touché aux "acquis sociaux", tels les 5 % de remise différée sur les jeux et accessoires », témoigne Matthias Boudier, directeur marketing du groupe, pour qui « l'on ne peut pas faire l'économie de la partie purement transactionnelle d'un programme de fidélité », compte tenu de la concurrence des autres distributeurs.
Dans cette quête d'une récompense plus astucieuse du client fidèle, la SNCF n'est pas en reste : « En contrepartie de nos baisses de barèmes, nous allons développer des services », promet Pascal Delorme, refusant cependant d'en dire plus pour ne pas donner d'informations à ses futurs concurrents, le jour où l'entreprise aura perdu son monopole sur le trafic voyageurs grandes lignes dans l'Hexagone. Un « big bang » inéluctable, mais dont la date n'est pas encore fixée. Encore en grande partie captive, sa clientèle Grand Voyageur doit donc, en attendant, se défouler sur les forums Internet et pleurer ses S'Miles perdus. En constatant au passage que la partie services est, pour l'heure, réduite à sa plus simple expression. Sur l'ensemble du territoire, il existe en tout et pour tout dix salons Grand Voyageur dans les gares de la SNCF. Ouverts tous les jours. Sauf les samedis, dimanches et jours fériés…
CLAUDE BARJONET, Les Echos

22 € égal 38 €

A la SNCF, 22€ est la valeur d'un billet promo telle qu'elle est annoncée dans leur publicité. Mais quand on dit promo à la SNCF, c'est pas vraiment la même chose que dans la distribution. En gros les billets à 22€, sont en fait proposé à 38€ même quand c'est un billet en fin de journée un dimanche. C'est juste 72% de plus.

25 minutes de retard

Paris -Sud Ouest
25 minutes de retard de Paris- Sud Ouest
Problème de circulation
Juin 2010

serveur inacessible

Bien sur tout est monde est au courant de la panne de serveur informatique de la SNCF qui a eut lieu fin mai. Après avoir vendu plus de billets qu'il n'y avait de places disponibles à la vieille d'un week end, la SNCF a expliqué que cela était rétabli en début de semaine. Par début elle entendait le lundi 24 mai. En fait malgré un passage en boutique le 27 mai, les billets pour la destination du sud ouest n'ont été disponible que le 28 mai. 5 jours c'est la notion SNCF du lendemain.

jeudi 13 mai 2010

A la SNCF on ne fait pas le pont, on refait le pont !

La gare de bordeaux est fermée 4 jours pour cause de travaux sur le pont de la Garonne. Donc pas de pont pour les clients ( enfin les usagers, pour être client, il leur faudra encore quelques années d'apprentissage)
Pas de pont.... pas de voyages... 100 000 voyageurs impactés par cette mesure.

10 minutes de retard

De Paris vers le Sud Ouest
10 minutes de retard
Mai 2010

40 minutes de retard

De Paris vers le Sud Ouest 
40 minutes de retard
avril 2010

lundi 10 mai 2010

10 minutes de retard

Du Sud Ouest vers Paris
Avril 2010
10 minutes de retard

40 minutes de retard

De Paris vers le Sud Ouest
Avril 2010
40 minutes de retard
A préciser que ce retard provient de 20 minutes due à des difficultés de circulation, et à 20 minutes due au fait que le conducteur est resté coincé dans sa salle de repos, sans pouvoir en sortir. A la SNCF, les toilettes sont bloquées de l'intérieur ?????

dimanche 18 avril 2010

15 minutes de retard


Paris vers le Sud Ouest
Avril 2010
15 minutes de retard

vendredi 2 avril 2010

La SNCF t'entend, mais ne t'écoute pas !


Tentative de réserver une couchette supérieure dans un train de nuit. Voyages-sncf .com propose donc de choisir l'emplacement de la couchette. A la demande d'une couchette supérieure, elle propose une couchette au milieu.
Annulation de la réservation et renouvellement de la demande. Obstination du serveur qui a la demande d'une couchette supérieure propose à nouveau une couchette au milieu.
Réservation de la couchette du milieu avec option de pré-réservation, mais sans achat du billet.
Renouvellement de la demande pour une couchette supérieure et là.... réponse du serveur... couchette supérieure. Pas dans la même voiture mais peu importe, ce n'était pas un critère imposé.
Donc 3 tentatives pour obtenir une couchette supérieure, et une couchette au milieu pré-réservée pour rien!

1 milliard de pertes


La SNCF a perdu près de 1 milliard d'euros en 2009... Putrain!!! (copyright Omar et Fred)

mardi 9 mars 2010

60 minutes de retard

Sud Ouest vers Paris
28 février 2010
60 minutes de retard

vendredi 26 février 2010

30 minutes de retard


De Paris vers le Sud Ouest
25 février 2010
30 minutes de retard

samedi 13 février 2010

Les retards de la SNCF

En 2009, environ un train sur cinq sur les grandes lignes est arrivé avec plus de cinq minutes de retard sur l'horaire prévu. Le taux de régularité des TGV et des trains grandes lignes Téoz et Corail est tombé de 82,6% en 2008 à 81,2% en 2009, selon la SNCF
En 2009 sur les 40 voyages effectués, j'ai accumulé donc des smiles, certes, mais aussi 17 h de retard.
Cela représente donc :
1 heure de retard tous les 2,35 voyages
5,12% d'augmentation du temps passé dans le train

En 2008 cela représentait 22h de retard
1heure de retard tous les 1,8 voyages
6,6% d'augmentation du temps passé dans le train

Donc la sncf fait perdre presque 1 journée par an en retard divers quand vous prenez le train au moins 40 fois dans l'année. Lorsque l'on prend le train régulièrement la probabilité d'être en retard tout les 2 voyages est très forte.
Économiquement, une heure de salaire moyen peut être estimé à 25€. 17h de retard représentent un coût économique de 425€ par an. Un tgv comportant 2 rames de 800 personnes, en fin d'année le coût économique du retard peut être estimé à 680 000 €/an.
Il y a 600 tgv par jour,soit 4200 par semaine, ou 219 000 par an. J'emprunte donc 0,04%des tgv en France. Si le taux de retard est appliqué de manière nationale, il concerne 8760 trajets. Donc un coût économique de 8760 X 680000€ soit 5 956 800 000 d'euros.

mardi 9 février 2010

55 minutes de retard


Du Sud Ouest vers Paris
31 janvier 2010
55 minutes de retard

mercredi 27 janvier 2010

Retard d'ouverture, mais fermeture en avance

janvier 2010 : Le bureau SNCF ouvre avec plus de 2h de retard : 11h au lieu de 8h45. Mais il est indiqué une ouverture jusqu'à 18H. A 17h le bureau est déjà fermé.

dimanche 10 janvier 2010

Cumul des retards en 2009


Le cumul des retards en 2009 atteint 17h et 8 minutes. Cela représente moins qu'en 2008 ou plus de 22 H ont été accumulées. On peut attribuer cela à de la chance (lors de certains trajets réguliers, des trains précédents ou suivants ont subit des retards importants), à une baisse des facteurs extérieurs ( moins d'incendie le long des voies, d'animaux qui divaguent), voir aussi à une légère baisse du nombre de trajets effectuées sur l'année 2009.

Augmentation des tarifs de 4,16%


La SNCF a informé que le prix des billets des TGV devait augmenter de 1 à 2% pour 2010. L'achat des billets habituels a montré que l'augmentation pour les abonnés est en fait de 4,16%.
Ils sont gentils à la SNCF. Les abonnés sont choyés. On leur réserve le meilleur. Encore une nouvelle "pépy te" marketing.
On rappelle que l'augmentation des tarifs avaient été de 4,6% en 2009. Cela donne donc 8,76% d'augmentation, sur 2 ans.